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Etre Jeunes Actifs dans le Val-de-Marne, c’est porter un regard nouveau sur les dossiers qui conditionnent l’avenir de notre département, et plus largement l’avenir de la France et de l’Europe parce qu’il convient parfois de changer d’échelle, de perspective sur les problèmes de notre société pour trouver des solutions, explorer de nouvelles contrées et assurer leur mise en œuvre avec de nouvelles méthodes.

C’est une manière radicalement différente de faire de la politique que nous souhaitons fonder ensemble ; une pratique politique où l’émetteur d’une idée cesse d’être jugé en fonction de son âge ou de sa classe sociale, mais en fonction de sa pertinence.

 

Céline Martin

Secrétaire départementale adjointe UMP 94

Responsable des Jeunes Actifs 94

Adjointe au maire de Vincennes

Trombinoscope

trombi JA der

24 octobre 2012 3 24 /10 /octobre /2012 17:52

Ecologie et environnement :

c'est l'affaire de tous !

 

réunion PJG

 

Implantation d’éoliennes sur le Plateau briard, augmentation de la capacité de l’aéroport d’Orly avec l’éventualité d’accueillir l’A 380, remise en cause possible d’Orbival si le projet du Grand Paris est «gelé» par le Gouvernement pour raison d’austérité budgétaire, menace sur les dernières terres agricoles et maraîchères val-de-marnaises ou encore augmentation du pourcentage de logements sociaux dans les communes sans oublier les incertitudes qui règnent autour d’une éventuelle exploitation du gaz de schiste, la réunion-débat organisée mardi 23 octobre, dans les locaux de la Fédération UMP 94 à Créteil, par Céline Martin, secrétaire départemental adjoint de l’UMP 94, responsable des Jeunes Actifs 94 et adjointe au maire de Vincennes, a été tout à la fois passionnante et passionnée.


En début de soirée, c’est Jean-Paul Faure-Soulet, secrétaire départemental UMP 94, conseiller régional d’Ile-de-France et conseiller municipal de La Queue-en-Brie qui a ouvert les débats en évoquant principalement le dossier du devenir de la plate-forme aéroportuaire d’Orly, les projets d’accroissement de sa capacité d’accueil tant en terme de vols que de passagers.


L'aéroport d'Orly, vétuste et au bord de la saturation, va bénéficier d'une profonde cure de jouvence d'ici 2018 grâce à un investissement d’ADP de 400 millions d'euros, avec à la clé, la jonction de ses deux terminaux qui permettra aux passagers de se rendre à pied d'Orly-Ouest à Orly-Sud. Un pôle multimodal sera aussi construit pour accueillir le métro, voire le TGV, a annoncé voici quelques jours Pierre Graff, PDG d’Aéroports de Paris (ADP) gestionnaire d’Orly et Roissy, lors d'une conférence de presse présentant le projet, la dernière avant son départ contraint dans trois semaines en raison de la limite d'âge (65 ans).


Si l’autorité aéroportuaire précise qu’il s'agit de rénovation d'aérogares, et non «de demander quoi que ce soit en matière réglementaire comme une augmentation du nombre de créneaux aériens» alloués aux compagnies aujourd’hui plafonnés à 250 000 par an, ces propos ne convainquent pas les représentants des riverains.


«Aujourd'hui, ne s'agit-il pas tout simplement de préparer ce déplafonnement ? » s’interroge le conseiller régional…


Puis, Pierre-Jean Gravelle, conseiller général UMP de Villecresnes, ancien maire de Villecresnes, membre du conseil d’administration de la SAFER d’Ile-de-France (Société d’aménagement foncier et d'établissement rural), a poursuivi les débats en abordant des sujets tout autant d’actualité comme le forcing de l’Etat pour implanter un parc d’éoliennes sur le Plateau briard contre l’avis des collectivités locales et des riverains, l’aveuglement idéologique de la ministre du Logement, Cécile Duflot, qui veut renforcer les obligations de la loi SRU et quintupler les sanctions financières à l’encontre des villes qui n’atteignent pas le nouveau seuil de 25 % de logements sociaux sur leur territoire, le mauvais coup porter au projet Orbival avec le probable abandon du chantier du Grand Paris avant d’évoquer le dossier de l’exploitation du gaz de schistes en région francilienne.


Autant de sujets qui ont suscité un vrai débat entre les animateurs de la soirée et les nombreux jeunes actifs présents.


Une preuve supplémentaire, s’il en était besoin, que l’écologie et la préservation de notre environnement n’est pas la «chasse gardée» des Verts et qu’en la matière ces derniers ne possèdent ni le monopole des idées, ni celui du combat politique !

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